La poudre de moringa apporte de nombreuses substances végétales secondaires

Les cellules végétales produisent une vaste palette de substances secondaires, qui jouent un rôle exceptionnel dans la médecine. Il existe approximativement 50 000 à 100 000 substances végétales secondaires en tout, et une petite fraction des substances seulement fait l'objet de recherches. Étant donné que les plantes vivent 24h/24 dehors et ne peuvent pas se sauver, 

 

elles ont besoin d'une protection particulièrement efficace contre les virus, les bactéries, les champignons, les prédateurs, les radicaux libres, le rayonnement excessif du soleil, le froid et la maladie. Les principales substances immunobiologiques des plantes sont de loin les phytonutriments secondaires, et le principe de « défense » est également transférable à l'homme. De nos jours les vertus bénéfiques à la santé des substances végétales ne sont de nos jours incontestées. Il a pu être démontré en laboratoire que d'infimes quantités de ces « armes biologiques » suffisent déjà à éliminer les radicaux libres, les bactéries, les virus et les cellules cancéreuses. De nombreux experts sont de ce fait d'avis qu'elles sont au moins tout aussi indispensables que les vitamines et les minéraux pour un système immunitaire puissant. 

En fonction de leur type, elles agissent comme protection solaire naturelle, réduisent les microorganismes pathogènes, les substances toxiques, le cholestérol, les réactions inflammatoires et les radicaux libres, préviennent les caillots de sang et régulent la digestion et le taux glycémique. 

La poudre de moringa renferme toutes ces substances dans une concentration efficace, comme le montre le comparatif de substances nutritives et vitales avec les autres aliments. Ici à titre d'exemple la teneur en phénols (vitamine P) du moringa comparée au vin rouge et à des jus particulièrement riches en phénol : 

Vin rouge : entre 50 et 400 mg/100 ml Jus de grenade : 250 mg/100 ml Jus de cassis : 587 mg/100 ml Feuilles de moringa fraîches : 680 mg/100 g Jus de sureau : 996 mg/100 ml Jus d'aronia : 1579 mg/100 ml Feuilles de moringa fraîches : 2800–3470 mg/100 g .

La poudre de moringa est dotée d'un pouvoir antioxydant extraordinairement élevé 

Ce que l'on appelle l'indice Orac aide à choisir de manière ciblée les aliments qui servent de bouclier contre les radicaux libres. Si l'on compare l'indice Orac de la poudre de moringa avec les données d'autres plantes et fruits, on voit ici le potentiel de cette plante. Plus le chiffre indiqué est élevé, mieux les composants sont en mesure de rendre les molécules d'oxygène agressives inoffensives dans leur totalité. L'aronia présente l'indice Orac le plus élevé pour les fruits crus avec 16 062 µmol TE/100 g.

Chez les légumes crus, l'artichaut arrive en tête avec 6 552. L'indice le plus élevé pour les jus est détenu par les myrtilles : 2 906. La poudre de moringa atteint 46 700 à 62 600 µmol. Les experts recommandent d'absorber au moins 3000 à 7000 unités Orac par jour avec son alimentation. Si l'on convertit cette quantité en poudre de moringa, nous absorbons avec 5 g 2 335 et avec 15 g (une cuillère à soupe et demie pleine) 7 005 unités Orac. Une à deux cuillères à soupe, et la formation de radicaux libres causée par des processus d'oxydation est fortement réduite ! 

La poudre de moringa est une excellente source d'enzymes  

Les enzymes jouent un rôle important pour que tout fonctionne bien comme il faut dans notre corps. Tout ce qui est décomposé dans le métabolisme, réduit, modifié dans sa propriété chimique ou tout ce qui doit être fusionné dépend d'au moins une activité enzymatique. Mais lorsqu'il s'agit d'accélérer des processus métaboliques précis, les enzymes sont imbattables. Même si c'est difficilement imaginable, les réactions sous influence d'enzymes sont jusqu'à 100 milliards de fois plus rapides qu'en leur absence. 

 

Les enzymes sont également la condition élémentaire requises pour l'utilisation de l'oxygène. Lorsque le corps manque d'oxygène, il stimule alors la production d'enzymes ou a recours aux réserves d'enzymes. La respiration cellulaire peut ainsi d'abord être maintenue, mais uniquement tant qu'il y a suffisamment d'enzymes. 

En cas d'alimentation inadaptée, la production d'enzymes baisse déjà vers 30 ans, et reprend à nouveau régulièrement en vieillissant. C'est la raison pour laquelle la plupart des personnes plus âgées n'ont pas suffisamment d'enzymes. C'est cependant précisément cette tranche d'âge qui a besoin le plus d'enzymes pour rester en bonne santé. 

Vient à s'ajouter à cela le fait que ce sont les enzymes qui divisent les aliments que nous mangeons en composants individuels. Sans un nombre suffisant d'enzymes, les substances nutritives et vitales essentielles à la vie ne sont plus résorbées que partiellement et sont de ce fait rejetées en partie inutilement. Dans le cas des protéines, cela peut par exemple même engendrer des intolérances plus ou moins importantes, qui entraînent la nécessité de réduire ou d'éliminer totalement le lait contenant du lactose ou les céréales contenant du gluten du plan alimentaire. 

Avec la poudre de moringa, nous disposons d'un aliment hautement concentré en protéines et coenzymes, qui permet de maintenir le « turbo enzymatique » dans notre corps ou de le redémarrer.

La poudre de moringa recèle une combinaison d'acides gras bons pour la santé particulièrement bénéfique 

Il ne faut pas sous-estimer le travail des acides gras dans l'organisme humain : Tout ce qui doit être graissé, déplacé ou mobile a besoin d'acides gras. Ils participent de manière décisive à la constitution de l'énergie cellulaire et musculaire, des muqueuses, de la substance cartilagineuse, du liquide synovial, des spermatozoïdes, de la membrane cellulaire, du cérumen, du liquide 

 

lacrymal, des hormones, de la peau, de la conduction nerveuse, des vaisseaux et de la matière cérébrale. Chaque cellule du corps produit des hormones tissulaires à partir d'acides gras à longue chaîne. L'essentiel : Étant donné que ces hormones se régulent réciproquement, les différents groupes d'acides gras doivent être parfaitement équilibrés. Trop d'acides gras méga 6 par exemple stimulent la formation de plaque, une immunodépression, la coagulation sanguine, des inflammations, de l'histamine et des sténoses. 

Avec une part d'acides gras totale de 3,2 pour cent, la poudre de moringa est juste au même niveau que le lait de vache (entier à 3,5 %). Cette part de graisses est tout d'abord importante pour que le métabolisme puisse entièrement valoriser les vitamines A, D, E et K solubles dans

l'eau et les caroténoïdes. Si l'on considère les différentes sortes d'acides gras présents dans la poudre de moringa, elle renferme alors comme

presque toutes les plantes les deux acides gras essentiels, mais dans une combinaison particulièrement avantageuse.

La part d'acides linoléique (oméga-6) s'élève à 3,3 %, la part d'acides alpha-linolénique (oméga-3) s'élève à 19,5 %. Le moringa renferme ainsi environ 6 fois plus d'acides gras oméga 3 qu'oméga 6.