Mon chemin sur les Nutriments de la Nature

Des chercheurs comme Prof. Klaus Becker de l'université Stuttgart-Hohenheim et Dr. Lowell J. Fuglie des Etats-Unis qui recherche

au Sénégal analysèrent les éléments constitutifs du moringa. Grâce au Prof. Becker, les histoires concernant le moringa ne sont

plus seulement des légendes depuis les années 1990, mais sont également scientifiquement explicables.

Les toutes nouvelles recherches démontrent que le moringa peut nourrir, être nutritif, prévenir, aider, réguler, protéger et réparer, 

toutesles parties de l'arbre offrant respectivement une palette de substances nutritives des plus complètes, de par sa composition synergétique

et sa biodisponibilité élevée. Le moringa renferme plus de substances nutritives que n'importe quelle autre plante de la terre connue !  

En synergie, cela signifie que d'importantes substances individuelles dans le moringa sont combinées idéalement intrinsèquement et sont complémentaires au niveau de leur fonctionnement. Ceci constitue un avantage considérable par rapport aux compléments alimentaires

qui ne contiennent souvent que peu de substances actives (et en quantité élevée peu équilibrée).

Les feuilles de Moringa : un véritable trésor d'éléments constitutifs vitaux

 

Alors que quasiment personne n'était encore conscient des vertus cachées dans l'arbre moringa oleifera, l'université de Hohenheim à Stuttgart avait déjà analysé intensément la culture et une éventuelle utilisation. Le Prof. Dr. Klaus Becker tout particulièrement, avec son groupe de recherche, a vite constaté dès 1993 la véritable importance de l'arbre quasi insignifiant. Ils recherchèrent la raison de l'efficacité médicale de cette plante à l'aide d'analyses biochimiques. Les chercheurs furent stupéfaits et enthousiasmés à la fois du potentiel de la plante. 

 

Sa teneur extrêmement élevée en minéraux fait des feuilles de moringa une véritable « bombe nutritive »  

La poudre des feuilles de la plante moringa fut alors comparée par l'université Hohenheim avec les informations nutritionnelles et de substances vitales de 1 058 aliments. Les chercheurs furent étonnés des valeurs exceptionnellement élevées, car la poudre de moringa renferme - en quantités identiques : 17 fois plus de calcium que le lait de vache, 1,3 fois plus d'acides aminés que les œufs, 6 fois plus d'acide alpha-linolénique que d'acide linoléique, 1,9 fois plus de fibres alimentaires que le blé complet, 8,8 fois plus de fer qu'un morceau de filet de bœuf, 6 fois plus de polyphénols cardioprotecteurs que le vin rouge, 4,7 fois plus de vitamine E que les germes de blé, 1,3 fois plus de zinc qu'une escalope de porc, presque autant de vitamine C qu'une salade de fruits, 2,2 fois plus de magnésium que le millet brun, 6,9 fois plus de vitamine B1 et B2 que de levure, 2,4 fois plus de bêtacarotène que les carottes, 3,4 fois plus de potassium que les bananes, 2 à 3 fois plus de lutéine protectrice des yeux que le chou vert et le moringa a une activité antioxydante 37 fois plus élevée que les raisins. La poudre de moringa s'est catapultée en première position sur 1058 aliments dans la base de données de l'université de Hohenheim pour : le calcium, le bêta-carotène, la vitamine B1 et la vitamine B2. L'« arbre miraculeux ayurvédique » s'est hissé en 2e position de tous les aliments comparés pour : la vitamine E, la vitamine B6, l'acide folique et le fer. 

La teneur en minéraux totale de la poudre de moringa est de 10,73 grammes. Même la céréale la plus riche en minéraux, le millet brun, avec sa part de minéraux de 2 à 3,5 grammes, renferme une quantité nettement plus faible. Aucun des aliments comparés au moringa ne renferme plus de calcium. Les valeurs de magnésium, de fer et de potassium sont exceptionnellement élevées. Une comparaison entre 15 g de poudre de moringa et 15 g de müesli aux fruits permet de démontrer clairement la différence : 300 g de calcium dans la poudre de moringa (müesli aux fruits : 7,95 g), 55,2 g de magnésium (müesli aux fruits : 16,5 g), 4 230 mcg de fer (müesli aux fruits : 49,5 mcg), 30,6 g de phosphore (43,5 g),
198,6 g de potassium (67,65 g), 85,50 mcg de cuivre (60 mcg) et 493,5 g de zinc (37,50 mcg). 

La teneur en protéines est d'environ 30 pour cent. Contrairement aux autres sources de protéines végétales, tous les acides aminés essentiels sont présents dans un rapport équilibré et sont de ce fait immédiatement assimilables par le corps. 

Il est tentant de penser que les feuilles de un à deux centimètres (ainsi que la poudre des feuilles) pourraient également solutionner beaucoup de problèmes de nutrition et de santé sous nos latitudes.

La poudre de moringa est une source précieuse de zéatine /La zéatine retarde les processus
de vieillissement de la peau, des cheveux et du cerveau

Les plantes ont elles aussi besoin d'hormones qui stimulent leur croissance. Leur représentant la plus importante et la plus active est la zéatine. De plus, la zéatine améliore la transformation des substances nutritives, accélère le transport d'énergie par les capillaires végétaux et renforce les plantes pour les rendre moins sensibles aux maladies. 

De nombreuses plantes renferment de la zéatine, mais rarement en grandes quantités. La feuille de moringa par contre, présente une teneur comprise entre 5 et 200 microgrammes par gramme, selon l'expert en moringa Lowell J. Fuglie, mille fois la quantité normale. C'est ce qui permet à l'arbre moringa de pousser de 4 à 8 mètres en une année seulement tout en formant de nombreuses feuilles et beaucoup de fruits. 

Le groupe des cytokinines, parmi lesquelles la zéatine, est également impliqué dans le retardement du processus de vieillissement dans le monde végétal. L'effet de cette 'hormone de bain de jouvence' devient visible pour tous à l'automne, lorsque l'arbre transporte à nouveau les substances nutritives contenues dans les feuilles dans le tronc, ce qui fait jaunir les feuilles. Mais tant que les feuilles renferment suffisamment de cytokinines, elles restent vertes et la mort cellulaire est retardée. 

La question se pose alors de savoir si la zéatine peut également jouer ce rôle de « bain de jouvence » pour les cellules humaines. C'est la question à laquelle s'est attelée l'entreprise Senetek PLC, qui s'est spécialisée dans les produits antivieillissement. Tout du moins en cas de dommages cutanés dus au vieillissement et à la lumière du soleil, l'action est excellente au niveau de la propre production de collagène, de la fermeté et de l'élasticité. Ces résultats ont débouché sur le développement de produits de soins cutanés et capillaires (très onéreux) avec de la zéatine. 

L'action protectrice de la zéatine contre les dépôts de protéines dans le cerveau, sous forme de plaques de bêta-amyloïdes a également pu être démontrée. Si ces protéines coagulent et se déposent sur les cellules nerveuses du cerveau, cela entraîne finalement leur anéantissement, ce qui déclenche le développement d'Alzheimer. Des chercheurs de Corée ont également constaté que dû à l'extrait de zéatine,
le transmetteur acétylcholine est nettement plus longtemps disponible pour la transmission d'informations,

ce qui permet d'améliorer la performance intellectuelle. 

La capacité de la zéatine à retarder le vieillissement cellulaire en tant qu'antioxydant puissant est également démontrée, puisqu'elle renforce l'activité des capteurs de radicaux libres, glutathion, peroxydase et catalase (enzyme).

La poudre de moringa renferme des substances amères et piquantes /Essentiel pour l'appareil digestif

Étant donné qu'un goût sucré est plus agréable pour la majeure partie des gens, les substances amères et piquantes ont été cultivées de manière conséquente au cours des dernières décennies à partir de fruits, de sortes de légumes, d'herbes aromatiques et de racines. L'utilisation de produits phytosanitaires a également un effet réducteur, puisque la plante doit alors produire moins de ces substances végétales secondaires pour sa propre protection. En fonction des goûts de chacun, l'apport fourni par les substances amères est de 60–90 % moindre que celui de leurs prédécesseurs. Il en va de même pour les substances piquantes. Les sortes de radis et d'oignons étaient à l'époque bien plus piquantes que celles que l'on peut acheter de nos jours dans le commerce alimentaire.

L'un des stimulants essentiels de la formation de sucs digestifs est ainsi absent et les suites sensibles en sont des problèmes de digestion et des processus de fermentation et de putréfaction dans l'estomac. Mais les substances amères sont un modérateur d'appétit naturel. Tandis qu'une alimentation riche en féculents, et principalement les sucreries ou les limonades provoquent des fringales, les substances amères déclenchent exactement le contraire, elles modèrent notre appétit. 

Le moringa renferme comme substances amères, entre autres, les acides caffeoylquiniques, dont les dérivés se retrouvent également dans les artichauts. D'autres substances amères contenues dans la feuille de moringa sont les saponines, que l'on retrouve principalement dans les légumineuses, et les tanins, qui donnent au thé vert et au vin leur goût amer et âpre. Les huiles de moutarde (glucosinolates) apportent un goût piquant, comme pour le raifort, le radis ou le cresson et le cresson alénois. 

Les substances piquantes ont un effet quasiment identique à celui des substances amères sur la digestion ; elles sont également efficaces contre les champignons et les bactéries pathogènes installées dans la muqueuse de l'estomac et de l'intestin. En cas de problèmes respiratoires, elles ont une action anti-inflammatoire, désinfectante et expectorante (nez, pharynx, bronches). Les substances piquantes augmentent la « thermogenèse », c'est-à-dire qu'elles stimulent le métabolisme et qu'une faible quantité déjà dilate les vaisseaux sanguins. La dépense énergétique et l'irrigation sanguine des organes et de la peau sont ainsi stimulées.

Tous les résultats de la recherche sur le Moringa s'appliquent aux humains et aux animaux !

La poudre de moringa renferme énormément de chlorophylle /Veille à une lymphe et à un sang sains chez l'homme 

Toutes les plantes vertes, ainsi que la spiruline, qui fait partie des cyanobactéries, renferment des quantités relativement élevées de chlorophylle. La chlorophylle est en mesure d'absorber la lumière du soleil et de former des substances organiques avec l'oxygène, le dioxyde de carbone, les minéraux et l'eau. Sans la photosynthèse, tel est le nom de ce processus,

 il n'y aurait quasiment pas d'organismes vivants sur cette terre. D'un point de vue chimique, la chlorophylle est proche du pigment sanguin rouge, l'hémoglobine, contenu dans les globules rouges. La principale différence réside dans le fait que le fer donne à notre sang sa couleur rouge, tandis que la chlorophylle renferme beaucoup de magnésium et colore la feuille en vert.
L'action de la chlorophylle : lorsque nous l'absorbons, elle a une action enrichissante en oxygène dans le sang, puisqu'elle participe à la formation des globules rouges. Les personnes

plus âgées et anémiques profitent également des bienfaits de la poudre de moringa, notamment parce que la poudre de moringa, outre une grande quantité de magnésium (minéral anti-stress,

qui prévient la libération de l'adrénaline et de la noradrénaline) renferme également

le fer nécessaire en grande concentration. 

Outre cela, la chlorophylle soutient le système immunitaire lors de la détoxication, puisqu'elle stimule la formation de glutathion-S-transférase. Cette enzyme stimule la fixation du glutathion aux substances toxiques, de manière à pouvoir les éliminer facilement du métabolisme. La chlorophylle est également capable d'atténuer les effets néfastes de l'alcool. Dans l'apparition du cancer, elle a une action antitumorale au travers de différents mécanismes (selon Watzl/Leitzmann 2005). Le pigment végétal vert réprime les bactéries anaérobies présentes en nombre disproportionné, au détriment des bactéries aérobies, en cas de prolifération de la flore intestinale.

D'après le célèbre écrivain G.A. Ulmer, la chlorophylle crée la condition requise pour une lymphe et un sang sain.